I
Bajo el oro del sol, sedeña y pura
vendrás para curar mis hondos males,
trayendo en mil redomas, orientales
bálsamos de consuelo y de ventura.

Ungirás mi dolor con tu...

 
CUANDO esté yo á tu lado, prenda mía,
Has de sentir mi amor como esos rayos
Del sol que abre las flores
En medio de sus lánguidos desmayos
        En caluroso día.

Has de sentir mi aliento
Como ese soplo matinal que inclina
        Á la casta...

Espérez-vous que la postérité
Doive, mes vers, pour tout jamais vous lire ?
Espérez-vous que l'oeuvre d'une lyre
Puisse acquérir telle immortalité ?

Si sous le ciel fût quelque éternité,
Les monuments que je vous ai fait dire,
Non en papier, mais en marbre et...

Chère âme, si l'on voit que vous plaignez tout bas
Le chagrin du poète exilé qui vous aime,
On raillera ma peine, et l'on vous dira même
Que l'amour fait souffrir, mais que l'on n'en meurt pas.

Ainsi qu'un mutilé qui survit aux combats,
L'amant désespéré qui s'en...

Esprit royal, qui prends de lumière éternelle
Ta seule nourriture et ton accroissement,
Et qui de tes beaux rais en notre entendement
Produis ce haut désir qui au ciel nous rappelle,

N'aperçois-tu combien par ta vive étincelle
La vertu luit en moi ? n'as-tu point...

Espritz qui voletez sur le bruict que bourdonne
Le fleuve recourbé qui de son viste cours
Leche presque le tour de ceste ville, ou l'ours
Qui fut premier trouvé le redouté nom donne :

Si devot quelque fois vostre troupe mignonne
J'honore de mes vers, et sur les...

 
Sous un règne propice à la gloire des arts,
Près du calme des champs, non loin de nos remparts,
S’éleva cette tour paisible et révérée,
A l’étude des cieux par Louis consacrée.
Je vins sur sa hauteur méditer quelquefois :
L’auguste poésie anime encor sa voix...

Ich habe mich hungrig gefühlt,
Doch fast nichts gegessen.
War alles lecker, das Bier so schön gekühlt –
Aber: Du hast nicht neben mir
Gegessen.

Verzeihe: Ich stellte mir vor,
Daß das ewig so bliebe,...

 
    Aidez-moi dans ma fuite, ô les beaux vents fidèles !
    Car je sens remuer en moi mes longues ailes !
    Et sans craindre l’effroi des espaces amers,
    J’obéis à l’appel impérieux des mers !

    Je ne sais où j’irai, ni quel souffle m’emporte…
    ...