Souvent triste et rêveur, sur un roc solitaire
Je m’assieds en portant mes regards sur la terre,
Et des pleurs tombent de mes yeux.
C’est qu’alors la douleur et présente et passée,
De son voile de deuil ombrageant ma pensée,
Courbe mon front silencieux.
Puis mon regard s'élève à la voûte céleste :
J'y retrouve l'ami, le seul ami qui reste...