En vain dans mes transports ta prudence m’arrête ;
Ma mère, il n’est plus temps ; tes pleurs m’ont fait poète !
Si j’ai prié le Ciel de me les révéler,
Ces chants harmonieux, c’est pour te consoler.
D’un tel désir pourquoi me verrais-je punie ?
Les maux que tu...
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J’y mets tout ce que j’ai d’espérance et de foi, |
Muse, est-ce vous ? dans ces bois dépouillés |
Qu’ai-je appris ! le sais-tu ? sa vie est menacée, |
Que veux-tu ? Je l’aimais. Lui seul savait me plaire : |
Bientôt, de nos rudes climats, |
A ma sœur Laurence.
Je t’aime parce que tu m’aimes, sœur gentille, |
La nue était d’or pâle, et d’un ciel doux et frais, Un arome léger d’herbe et de fleurs montait ; |
La nue était d’or pâle, et d’un ciel doux et frais, Un arome léger d’herbe et de fleurs montait ; |
Qu’un jeune amour plein de mystère 1843. |