Qu’un jeune amour plein de mystère
Pardonne à la vieille amitié
D’avoir troublé son sanctuaire.
D’une belle âme qui m’est chère
Si j’ai jamais eu la moitié,
Je vous la lègue tout entière.
1843.
Qu’un jeune amour plein de mystère
Pardonne à la vieille amitié
D’avoir troublé son sanctuaire.
D’une belle âme qui m’est chère
Si j’ai jamais eu la moitié,
Je vous la lègue tout entière.
1843.
Sonnet Ainsi, quand la fleur printanière Et sa tige fraîche et légère, |
Oui, si j'étais femme, aimable et jolie, Je voudrais n'avoir de soucis au monde |
Vous m'envoyez, belle Emilie, |
Non, quand bien même une amère souffrance Quand la pudeur, la grâce et l'innocence |
Que j'aime le premier frisson d'hiver ! le chaume, C'est le temps de la ville. - Oh ! lorsque l'an dernier, |