Comme l’oiseau frileux qui s’enfuit à l’automne,
Vous nous avez quittés quand octobre est venu,
Alors qu’à nos carreaux la bise monotone
Pleurait en secouant les bras de l’arbre nu.
Vous envoler, c’était faire envoler la joie
Qu’en passant vous laissiez tomber sur chaque seuil,
C’était rendre plus morne encor mon front qui ploie ;
Dans nos...