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Vers l’azur où s’en vont les âmes des oiseaux, |
Longuement poursuivi par le spleen détesté, |
Puis joyeux, rajustant ses printaniers atours, |
Toi qui m’as oubliée aujourd’hui, qui fus mienne Il y demeure un soir doux au regard lassé. |
XVI
C’était un grand château du temps de Louis treize. |
Et le premier frisson des brises, |
Et j’ai fait, tout ce jour, des treilles de ma vie |
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Verts gazons où fleurit la blanche marguerite, |