(Ode IV, liv. I)
Le Zéphir a chassé du ciel les noirs nuages ;
On a remis à flot les carènes des plages :
Le rigoureux hiver fait place au doux printemps.
Déjà, le laboureur ne veille plus à l’âtre,
Et le libre troupeau gambade autour du pâtre ;
La blancheur du frimas n’attriste plus les champs.
Sous le croissant d’argent, les...