L’onde porte le poids des feuilles en détresse.
Elles flottent au fil du courant… L’air est doux…
Allons à la dérive… Errons, ô ma Maîtresse,
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Paré d’aigue-marine et d’onyx et d’opale, |
Vertigineusement, j’allais vers les Étoiles… |
Gellô fut autrefois une vierge aux cheveux |
Sa lamentation traverse la lumière, Avec la voix des sorts qui ne pardonnent pas, |
Pourquoi revenir, les paupières avides, |
Les pampres du printemps et le vin de l’automne |
Elle enseigne l’oubli des heures et des jours |
Parmi les frondaisons rôdent d’anciens soupirs, |
L’amour n’a point d’écho pour répondre à ma voix, Car moi, fille royale, ainsi je l’ai voulu,... |