Au citoyen Élie MAY.
Le peuple sent qu’il est trahi,
C’est trop aboyer à la lune.
L’Hôtel de Ville est envahi,
Paris, proclame ta Commune !
A-t-on pris à Sainte-Périne
Tous ces dictateurs impotents ?
Leur ton dolent, leur voix chagrine...
Au citoyen Élie MAY.
Le peuple sent qu’il est trahi, A-t-on pris à Sainte-Périne |
AU soleil, le matin, les arbres sont en or ; C’est l’immobilité maintenant qu’elles aiment, |
Le soleil s’est levé rouge comme une sorbe |
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—... |
Il vente, il grêle, il pleut. Les lourds torrents gonflés |
Octobre permet un moment encor |
ADIEU, beau jour d’automne au firmament si bleu, |
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L’herbe que la pluie a mouillée |