So lang ich den deutschen Michel gekannt,
     War er ein Bärenhäuter;
Ich dachte im März, er hat sich ermannt
     Und handelt fürder gescheuter.

5 Wie stolz erhob er das blonde Haupt
     Vor seinen Landesvätern!
Wie sprach er – was doch...

Der Vogel Zeus, der Träger mächt'ger Blitze,
Als ihn sein Fürst zum Raub auf Ida sandte,
Hielt er den Knaben, der sich zagend wandte,
Behutsam, daß ihn nicht die Klaue ritze.

Doch über Reiz und Anmuth rollt' in Hitze...

 
Mein trauter Michel ist so gut,
So gut wie er gibt's keinen;
Wenn ihn mein Auge sehen thut,
So möcht's vor Freuden weinen.

Kein Apfel ist so roth und rund
...

Madame et Pauline Roland,
Charlotte, Théroigne, Lucile,
Presque Jeanne d’Arc, étoilant
Le front de la foule imbécile,
Nom des cieux, cœur divin qu’exile
Cette espèce de moins que rien
France bourgeoise au dos facile,
Louise Michel est très bien.

...

Quand j’aperçus tes yeux pour la première fois,
Non, je n’aperçus pas une chose charnelle ;
Et de toi j’attendis cette paix éternelle
Qui semble un but sacré que dans l’azur je vois.

De la beauté d’un jour mon âme fuit les lois,
Vers le libre zénith montant à...

Comme il fut triste et beau le destin de Moïse !
Pour lui, Dieu fut terrible et les hommes ingrats,
Et sans se plaindre un jour sa douleur s’est soumise ;
Et jamais vers le ciel il n’a tendu les bras,

Lui qui sans récompense a servi d’entremise
Entre la foudre en...

 
Cette chanson est associée à la Commune de Paris.

À Louis Montégut

Louise, c'est l'impersonnelle
Image du renoncement.
Le «moi» n'existe plus en elle...

Poet: Jules Jouy

 
Que ton visage est triste et ton front amaigri,
Sublime Michel-Ange, ô vieux tailleur de pierre !
Nulle larme jamais n’a baigné ta paupière :
Comme Dante, on dirait que tu n’as jamais ri.

Hélas ! D’un lait trop fort la muse t’a nourri,
L’art fut ton seul...

Quand Buonarotti dans la Sixtine entra,
Il demeura
Comme aux écoutes,
Puis son œil mesura la hauteur de...

Zut alors, si le soleil quitte ces bords !
Fuis, clair déluge ! Voici l'ombre des routes.
Dans les saules, dans la vieille cour d'honneur,
L'orage d'abord jette ses larges gouttes.

Ô cent agneaux, de l'idylle soldats blonds,
Des aqueducs, des bruyères amaigries,...