Le temps n’a plus d’aîles pour moi ;
Ce vieillard, à pas lents s’avance :
Mes jours s’envoloient près de toi ;
Ils se traînent dans ton absence.
Le soleil ralentit son cours :
Je vois sans cesse la journée,
Où tu partis environnée
Par le cortège...
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Adieu, les vengeurs de la France, |
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Oiseau de lieu sauvage, |
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Quand la belle Vénus, sortant du sein des mers, |
Sur l'air du Menuet d'Exaudet Dom Pibrac, |
Les sots sont un peuple nombreux, |
Debout sur la terrasse de son palais, « Tu as éprouvé la faveur des dieux ! |