À B. MARCEL
CE n’est pas sur nos maux que la Mer se lamente ;
Ne berçons plus nos cœurs à la plainte des flots,
Car nous ne rendrons pas à l’immortelle amante
Celui que dans l’air vide appellent ses sanglots.
Ariadne, à Naxos, n’attend plus...
CE n’est pas sur nos maux que la Mer se lamente ; Ariadne, à Naxos, n’attend plus... |
Du Christ une larme bénie De cette perle sans pareille, De cet ange... |
Je promène partout où le sort me conduit |
Chaque nuage qui traverse Une... |
J’AURAI cinquante ans tout à l’heure ; Je souffre pourtant aujourd’hui |
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Je sais tous mes forfaits, j’en connais l’étendue |
I Mars est venu, la vigne pleure : Et, peu sensible à tes alarmes, |
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Vous en avez flétri l’éphémère splendeur |