Point de repos pour l’âme humaine
Sur ce monceau de terre où nous sommes jetés :
Les chagrins & les maux d’une incessante haleine
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Si la mort n’est pas l’ouverture Si l’espoir du repos nous ment ; |
Le chemin où je marche est un chemin étroit : Étant né très-naïf, avec le cœur très-droit, |
Mon vieux compatriote, on t’oublie. On déterre, |
Pourquoi revenez-vous creuser mon souvenir, J’avais promis l’oubli qui console... |
Cosette ! le printemps nous appelle. Fuyons Tristesses de l’hiver, allez-vous-en ! Rions |
Rien n’est plus ennuyeux que ces villes banales Des princes vagabonds illustrent leurs annales ; |
O pasteurs ! Hespérus à l’Occident s’allume ; |
Maître Watteau, dans l’art d’agrémenter un rêve, |
Comme si ses flancs renfermaient une âme, Au pied du volcan la mer fulgurante |