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Il quitta, comme Faust, la route ténébreuse |
SALUT, César ! Pour toi les pâles Destinées |
X Si vous continuez d'être ainsi toute pâle Si je vois de nos jours se confondre la chaîne, |
Le cheval meurtri, qui saigne et qui pleure, |
Douze longs ans ont lui depuis les jours si courts Et j’ai couru bien loin de nos calmes séjours |
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Leuconoë, ne cherche pas à deviner |
IX Athée ? entendons-nous, prêtre, une fois pour toutes. |