Quoi ? qu’est-ce ? ô vents, ô nues, ô l’orage !
À point nommé, quand d’elle m’approchant
Les bois, les monts, les baisses vois tranchant
Sur moi d’aguet vous poussez votre rage.
Ores mon cœur s’embrase davantage.
Allez, allez faire peur au...
Quoi ? qu’est-ce ? ô vents, ô nues, ô l’orage ! Ores mon cœur s’embrase davantage. |
Quand viendra ce jour là, que ton nom au vrai passe Malgré moi je t’écris, malgré moi je t’... |
Ô entre tes beautés, que ta constance est belle. Or ne charge donc rien de ta sœur infidèle, |
Toi qui oys mes soupirs, ne me sois rigoureux Ni de Catulle aussi, le folâtre amoureux, |
Ô cœur léger, ô courage mal sûr, Tu étais donc toujours sœur de ta sœur ? |
C’était alors, quand les chaleurs passées, Le paisan bat ses gerbes amassées, |
Ce n’est pas moi que l’on abuse ainsi : Contente-toi de m’avoir jusqu’ici |
Oh l’ai-je dit ? Hélas l’ai-je songé ? Mon cœur chez toi, ô madame, est logé : |
Quand à chanter ton los, parfois je m’aventure, Je crains en louant mal, que je te fasse injure. |
Ce dit maint un de moi, de quoi se plaint-il tant, Quand j’étais libre et sain j’en disais bien autant.... |