Ô nocturnes rôdeurs aux courses vagabondes,
Dont l’aube pâle fait clignoter les yeux roux,
Et qui dormez le jour, dans l’ombre de vos trous,
Quand les soleils font flamboyer les plaines blondes,
Lorsque vos dents claquaient pour vos festins immondes,
Quand la faim hérissait vos poils comme des clous,
Ô chacals, déterreurs sinistres, dites-nous
Si...