LE POÈTE

Oui, le reproche est juste, et je sens qu'à mes vers
...

 
ANTOINE

Pour apprendre à noircir...

 
BENOIT

JE le sais bien, je le sais...

 
JEAN

E...

 
LE JARDINIER

Avant de t’arrêter chez...

 
MARIANNE

Je fus à toi depuis que je te vis là-haut
...

 
PIERRE

À Saint Corneille, ami des...

 
VINCENT

Certes, je ne sens pas au...

YAMÎ.

Selon le rhythme lent de vers scandant ses pas,
Le Riçhi matinal traverse la pelouse.
Vers le sein d’Yamî, ta sœur et ton épouse,
Remonte, fils des Eaux ! le courant du trépas.

...

Où sont tant de beautés que le printemps avait,
Ornement des jardins et des molles prairies ?
Où sont toutes les fleurs des campagnes fleuries ?
Où est le temps serein qui les coeurs émouvait ?

Où est le doux plaisir qui dans l'âme pleuvait
Durant les jeunes mois...

Poet: Amadis Jamyn