À quatre heures du matin, l’été,
Le Sommeil d’amour dure encore.
Sous les bosquets l’aube évapore
L’odeur du soir fêté.
Mais là-bas dans l’immense chantier
Vers le soleil des Hespérides,
En bras de chemise, les charpentiers
...
À quatre heures du matin, l’été, Mais là-bas dans l’immense chantier |
Sur les collines les nuages roses cernent... |
Quel temps de chien ! — il pleut, il neige ; À l’angle de la cheminée |
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