Le printemps, le printemps ! Tout renaît et fleurit.
Le vin de la jeunesse enivre la nature.
Au bord de chaque haie une rose sourit,
Et les fils de la Vierge errent à l’aventure ;
Les abeilles des bois sentent pousser leur dard ;
C’est le temps de chanter...
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Quand sur les splendides ruines |
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JE voudrais les savoir, les mystiques paroles, |
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À Émile Wroblewski. Apportez-moi des fleurs odorantes, Le vent du soir fait flotter vos pagnes. |
I. |
» Là sont des hommes indomptables, |
Quand nos aïeux brisèrent leurs entraves, |
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