• Stella an den Geliebten.

    Könnt’ ich dein Herz für mich allein gewinnen,
    Ich tauschte nicht mit großen Königinnen;
    Ich würd’ entzückt den Rest von meinem Leben
    Für deine Küße geben.

    5 O! fühltest du der Seele banges Schmachten,
    Du würdest mehr auf Stella’s Blicke achten,
    Und nicht gleich einem Schmetterlinge fliehen,
    Wo Rosen für dich...

  • LIRIO divino, lirio de las Anunciaciones;
    Lirio, florido príncipe,
    Hermano perfumado de las estrellas castas,
    Joya de los abriles.

     A ti las blancas dianas de los parques ducales;
    Los...

  • (traducción de Víctor Hugo)

    A la orilla del mar me había dormido,
    henchido el pecho de febriles ansias,
    y la brisa del piélago salobre
    vino a enjugar mis postrimeras lágrimas.

    Abrí los ojos y miré hacia arriba,
    porque creí que un ángel me besaba ;
    tan tibio era el aliento de la brisa
    y tan suave el murmullo de sus alas.

    Y en vez del...

  •  
    À M. G. Morel.

    LE MARIN

    Étoile du marin, si haute dans les cieux,
    Toi, douce à contempler comme un regard de femme,
    Vois-tu le cher pays que toujours voit mon âme,
    Et que depuis longtemps n’ont pas revu mes yeux ?

    Là, de sa voix d’argent, tinte une cloche ancienne
    Qu’on entend sur la mer quand sonne l’Angélus ;
    C’est un bourg de...

  •  

    I

    L'image de Florence en moi s'était dressée
    Ce soir-là. De nouveau, j'y suivais en pensée
    Les pas silencieux de Stella Vespera.
    Sœur des merveilles d'art qu'un beau siècle inspira,
    Elle m'avait charmé comme un pur marbre antique,
    Et me hantait depuis, fantôme énigmatique.
    On disait sa famille oubliée. Un secret
    Cachait sa vie à tous....

  • Sous les coiffes de lin, toutes, croisant leurs bras
    Vêtus de laine rude ou de mince percale,
    Les femmes, à genoux sur le roc de la cale,
    Regardent l'Océan blanchir l'île de Batz.

    Les hommes, pères, fils, maris, amants, là-bas,
    Avec ceux de Paimpol, d'Audierne et de Cancale,
    Vers le Nord, sont partis pour la lointaine escale.
    Que de hardis...

  • Je m'étais endormi la nuit près de la grève.
    Un vent frais m'éveilla, je sortis de mon rêve,
    J'ouvris les yeux, je vis l'étoile du matin.
    Elle resplendissait au fond du ciel lointain
    Dans une blancheur molle, infinie et charmante.
    Aquilon s'enfuyait emportant la tourmente.
    L'astre éclatant changeait la nuée en duvet.
    C'était une clarté qui pensait, qui vivait...