• I •
MARINA.
Vois-tu ! si j’avais ta beauté,
Cousine, et sa fleur jeune et tendre,
Je me garderais bien d’attendre,
Seule dans ma fidélité.
Pour un marin qui trace l’onde
Au lieu de m’ennuyer au monde,
Ma foi !
J’aurais plus de plaisirs que toi.