I
Ô Ciel inférieur, Terre des siècles ! l’homme
Avec autant d’effroi que de désir te nomme ;
Heureux s’il a vécu sans honte et sans remord.
Il passe ; rien n’est vrai, de sa vie éphémère.
À peine il vient d’entrer dans le sein de sa mère
Que déjà son visage est tourné vers la mort.
Enveloppé de lin, pris dans mes bandelettes,
Baigné d’...