Eh quoi ! votre printemps sourit à mon automne,
Y pensez-vous, jeune beauté !
J’ai l’âge où les ardeurs ont besoin d’une tonne ;
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Comme si ses flancs renfermaient une âme, Au pied du volcan la mer fulgurante |
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J’ai pleuré mes péchés comme font les pécheurs J’ai le ferme propos, le propos salutaire |
Voici que verdit le printemps |
I Il est là dans sa robe blanche ; |
Une nuit, j'ai rêvé que l'Amour était mort. |
De l’azur déchirant les toiles, |
Mais pour la fugitive atteinte |
Premières floraisons dans le... |