O que j’ayme la solitude !
Que ces lieux sacrez à la nuit...
O que j’ayme la solitude ! |
Il faut finir mes jours en l’amour d’Uranie ! Dès longtemps je connais sa rigueur infinie ! |
Seve qui peins l’objet dont mon cœur suit la loy, Laisse en paix l’Univers, ne luy va point apprendre Aussi bien manque-t-il icy ie ne sçais quoy |
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Le destructeur impitoyable |
Miroir, peintre et portrait qui donnes, qui reçois, Tu peux seul me montrer, quand chez toi je me vois, |
Près de l’humide empire où Vénus prit naissance, |
Filles du Dieu de l’univers, |
Ce fortuné marchand de bottes |
Gentil-homme de maison noble, |