Lorsque j'étais encore un tout jeune homme pâle,
Et que j'allais entrer dans la lice fatale,
Sombre arène où plus d'un avant moi se perdit,
L'âpre Muse aux regards mystérieux m'a dit :
— Tu pars ; mais quand le Cid se mettait en campagne
Pour son Dieu, pour son...
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Le livre de la vie est le livre suprême Ah ! désormais, goûtez le charme dont s’enivre, |
Ô jeune adolescent, tu rougis devant moi. |
Ô jeune Florentine à la prunelle noire, |
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Crois-tu donc, jeune fille aux jours d’ombre... |
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Son âge échappait à l’enfance ; |
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Un jeune homme qui a beaucoup souffert La douce hirondelle poursuit les guêpes |