Tu ne dors pas, souffle de vie,
Puisque l'univers vit toujours !
Sa sainte haleine vivifie
Les premiers et les derniers jours.
C'est toi qui répondis au Verbe qui te nomme,
Quand le chaos muet tressaillit comme un homme
Que d'une...
|
C’est de d’la prison que j’t’écris, |
|
Le soleil que sa halte Je sens comme aux vertèbres |
L’empereur vit, un soir, le soleil s’en aller ; |
I Les anciens voyageurs, qui marchaient assez vite C’était à Saint-Hubert... |
Timide, il me souvient qu’un jour je l’ai menée C’était en juin, le mois le plus doux de l’année, |
Comment, dans ce conflit de forces inégales, |
Dans cette plaine où l'Angleterre |
et que Pâques dit sa bonté |