Naufragé converti, j’ai voué ma carène
Au repos absolu ; je vous renonce, ô mers !
Et vous, dangers aimés, traîtres cieux, bords pervers,
Hurlements de Charybde, appels de la Syrène !
Ainsi je me berçais sur la plage sereine,
Lorsqu’un cri de détresse émeut soudain les airs,
Et j’aperçois, roulant parmi les flots amers,
Une pâle beauté dont la perte...