La pierre était triste, en songeant au chêne
Qui libre et puissant croît au grand soleil,
Du haut des rochers regarde la plaine,
Et frissonne et rit quand l’air est vermeil.
Le chêne était triste, en songeant aux bêtes
Qu’il voyait courir sous l’ombre des bois,
Aux cerfs bondissants et dressant leurs têtes,
Et jetant au ciel des éclats de voix.