Nicht in Thränen, nicht in feigen Klagen
Wimmre länger, mein verhaltner Schmerz!
Länger dich in meiner Brust zu tragen,
Wäre Schmach für dies gekränkte Herz.
5 Dass ich aus dem Sklavenband mich flechte,
Das ein Jahr mich trügerisch umschlang,
Rang ich...

An die Rheingräfinn Fanny von G***, Gräfinn zu S**.

Nur im Schleier der Verborgenheit
Will uns Hulda, süße Lieder singen;
Und auch meine Offenherzigkeit
Zu dem Stummseyn eines Fisches zwingen?
5 Diese reizende Bescheidenheit,
Glaub’ es mir, geht...

Ich hab dich lieb. Warum? Warum?
Weil es hat müssen kommen.
Ich schau mich nicht nach Gründen um.
Weil ich dich lieb hab, Kind, darum
hab ich dich mir genommen.

Und wehrtest du dich gegen mich
auch...

Versicherung neuer Treue

Dir mit Seufzern, dir mit Blut,
Dir mit heißer Thränenflut,
That ich meinen Schwur der Treue!
...

IX

À MADEMOISELLE FANNY DE P.

Ô vous que votre âge défend,
Riez ! tout vous caresse encore....

Poet: Victor Hugo

Ô vous que votre âge défend,
Riez ! tout vous caresse encore.
Jouez ! chantez ! soyez l'enfant !
Soyez la fleur ; soyez l'aurore !

Quant au destin, n'y songez pas.
Le ciel est noir, la vie est sombre.
Hélas ! que fait l'homme ici-bas ?
Un peu de...

Poet: Victor Hugo

Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire
Sait, à te voir parler et rougir et sourire,
De quels hôtes divins le ciel est habité.
La grâce, la candeur, la naïve innocence
Ont, depuis ton enfance,
De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté.

Sur tes...

Non, de tous les amants les regards, les soupirs
Ne sont point des pièges perfides.
Non, à tromper des coeurs délicats et timides
Tous ne mettent point leurs plaisirs.
Toujours la feinte mensongère
Ne farde point de pleurs, vains enfants des désirs,
Une...

Mai de moins de roses, l'automne
De moins de pampres se couronne,
Moins d'épis flottent en moissons,
Que sur mes lèvres, sur ma lyre,
Fanny, tes regards, ton sourire,
Ne font éclore de chansons.

Les secrets pensers de mon âme
Sortent en paroles de...

Quelquefois un souffle rapide
Obscurcit un moment sous sa vapeur humide
L'or, qui reprend soudain sa brillante couleur :
Ainsi du Sirius, ô jeune bien-aimée,
Un moment l'haleine enflammée
De ta beauté vermeille a fatigué la fleur.

De quel tendre et léger nuage...