En commençant mes études le premier pas m’a plu si fort,
Le simple fait de la conscience, ces formes, la motilité,
Le moindre insecte ou animal, les sens, la vue, l’amour,
Le premier pas, dis-je, m’a frappé d’un tel respect et plu si fort,
Que je ne suis guère allé et n’...
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J’ai peur de ce frisson nacré |
Tes lèvres ont gardé le pli de la parole... |
N’as-tu pas senti qu’un moment, |
Ta bouche délicate aux fines ciselures... |
Plus froide que l’Espoir, ta... |
Dans ta grâce longue et blêmie, |
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Je te méprise enfin, souffrance... |