La coupe où sans regret tu versas l’affreux vin
Reste la coupe d’or d’un échanson divin !
La nuit qui scintillait quand nous nous séparâmes
Reste l’ombre étoilée où montaient nos deux âmes !
La fleur qui mourra loin de tes profonds cheveux
Reste l’œillet béni qui servait les aveux !
Le vent qui passe et prend le baiser qu’on oublie
Reste le messager...