À Philoxène Boyer.

Ah ! pauvres maisons éventrées
Par le marteau du niveleur,
Pauvres masures délabrées,
Pauvres nids qu’a pris l’oiseleur !

Quand, sous le suaire des nues,
Au bord des larges boulevards,
Se dressent vos carcasses nues...

Les vieux hôtels qu’avaient respectés les années
Sous les coups des maçons tombent de toutes parts.
Ils gisent sur le sol, & leurs débris épars
Ont l’aspect douloureux des choses ruinées.

Comme leurs habitants ils ont leurs destinées ;
Leurs murs, que...

Poet: Gabriel Marc