L’onde porte le poids des feuilles en détresse.
Elles flottent au fil du courant… L’air est doux…
Allons à la dérive… Errons, ô ma Maîtresse,
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Paré d’aigue-marine et d’onyx et d’opale, |
Vertigineusement, j’allais vers les Étoiles… |
Gellô fut autrefois une vierge aux cheveux |
Pourquoi revenir, les paupières avides, |
Les pampres du printemps et le vin de l’automne |
J’aime la boue humide et triste où se reflète |
Parmi les ondoiements et les éclairs douteux, La rivière d’or roux berce leur somnolence ; |
« Lasse du jardin où je me souviens d’elle, « Tu rôdes, ainsi qu’un désir obstiné,... |
Nous ne tisserons pas les graves violettes… |