Auguste, mon très bon, qui toujours as fléchi
Pour les yeux en amande,
Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucoup réfléchi
Et que je me demande
Pourquoi décidément ce monde où nous rions
A tant de choses sombres,
Et pourquoi Dieu n’a mis que de faibles rayons
Dans un océan d’ombres ?
Pourquoi les champs,...