LORSQUE, parmi les pleurs et les cris d’ici-bas,
Pleine de beaux espoirs et de joyeux ébats,
Jeune fille, tu viens sourire,
Au lieu qu’au fond de moi ta candide beauté
Apporte la fraîcheur et la sérénité,
Je sens mon cœur qui se déchire.
Car, plus tu me parais près des anges du ciel,
Plus ton souffle est un baume et ta lèvre est un miel,
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