À quatre heures du matin, l’été,
Le Sommeil d’amour dure encore.
Sous les bosquets l’aube évapore
L’odeur du soir fêté.
Mais là-bas dans l’immense chantier
Vers le soleil des Hespérides,
En bras de chemise, les charpentiers
...
À quatre heures du matin, l’été, Mais là-bas dans l’immense chantier |
Puisqu’un blême rayon argente la fontaine, |
Marchant silencieux dans l'ombre, |
Le frais matin dorait de sa clarté première |
Pourquoi bondissez-vous sur la plage écumante, Pourquoi balancez-vous vos fronts que l’aube essuie, |
L'Orient jaillit comme un fleuve ; Soleil, voile de feu dont ton maître se couvre, |
Lorsque s’éveille le Matin Les feuilles sont comme un satin Le... |
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Ô Seigneur, exaucez et dictez ma prière, Car — ce bonheur terrible est tel, tel ce mystère |
I Ma vieille tante Gribiche, II Or, cette samaritaine |