Title | Poet | Year Written | Collection | Body |
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« Si l’Aurore » | Leconte de Lisle | 1886 | French |
Si l’Aurore, toujours, de ses perles arrose |
« Si mon amour était cet arbuste aux fleurs blanches » | Auguste Lacaussade | 1835 | French |
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« Si tu chantes La Marseillaise » | Robert Desnos | 1920 | French |
À Benjamin Péret Si tu chantes La Marseillaise |
« Si tu pleures jamais » | Barbey d’Aurevilly | 1828 | French |
Non ! tu ne le peux pas. Si ta vie est brisée, |
« Si tu veux nous nous aimerons » | Stéphane Mallarmé | 1914 | French |
Si tu veux nous nous aimerons Jamais de chants ne lancent prompts Muet muet... |
« Si vous allez chez l’épicier » | Robert Desnos | 1920 | French |
Si vous allez chez l’épicier Allez chez l’épicier de la rue Saint-Sauveur Petit garçon qui veux... |
« Soit. C’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole » | Victor Hugo | 1908 | French |
Soit, c’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole. |
« Soit. Mais quoi que ce soit qui ressemble à la haine » | Victor Hugo | 1908 | French |
Soit. Mais quoi que ce soit qui ressemble à la haine |
« Soleils ! Poussière d’or » | Leconte de Lisle | 1838 | French |
Mais qui sait, ô... |
« Sous l’épais sycomore » | Leconte de Lisle | 1886 | French |
Sous l’épais sycomore, ô vierge, où tu sommeilles, |
« Sous un souffle apaisé quand rit la mer sereine » | Charles Augustin Sainte-Beuve | 1824 | French |
Sous un souflle apaisé quand rit la mer sereine, |
« Souvent je me demande » | Auguste Brizeux | 1826 | French |
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« Sur la nacelle… » | Alain-Fournier | 1903 | French |
Sur la nacelle La tache est rouge Sous l’ombre chaude Et de prés frais... |
« Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre » | Stéphane Mallarmé | 1914 | French |
— « Sur les bois oubliés quand passe l’hiver sombre, |
« Sur un front de quinze ans les cheveux blonds d’Aline » | Charles Augustin Sainte-Beuve | 1824 | French |
Sur un front de quinze ans les cheveux blonds d’Aline, Et sa main, soutenant ce beau front qui s’incline, |
« Surgi de la croupe et du bond » | Stéphane Mallarmé | 1914 | French |
Surgi de la croupe et du bond Je crois bien que deux bouches n’ont |
« Surgi de la croupe et du bond » | Stéphane Mallarmé | 1887 | French |
Surgi de la croupe et du bond Je crois bien que deux bouches n’ont Le pur... |
« Te souviens-tu ? » | Barbey d’Aurevilly | 1828 | French |
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« Tête pâle de ma Chimère » | Barbey d’Aurevilly | 1828 | French |
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« Toi par qui j’ai senti » | Leconte de Lisle | 1895 | French |
Toi par qui j’ai senti, pour des heures trop brèves, Et vous qui me rendiez le matin de mes jours, |