Tous mes adieux sont faits. Tant de départs
m'ont lentement formés dès l'enfance.
Mais je reviens encor, je recommence,
ce franc retour libère mon regard.
Ce qui me reste, c'est de le remplir,
et ma joie toujours impénitente
d'avoir aimé des choses ressemblantes
à ces absences qui nous font agir.