• XLIIII. (44)

    1. Tröstlicher lieb,
    ich mich stets üb,
    wie ich jhr lieb und huld erlange,
    ein frewlein zart,
    dem ich mit fleis,
    in stiller weis,
    noch dien zu preis,
    so helt sie mir das widerpart.
    Wer hat gedacht,
    dz solt sein gemacht,
    ein...

  • 44.

    44.
    Ich fühle oft, wenn ich im Schwarm der Gäste
    Bedächtig durch beglänzte Säle schreite,
    So wilden Wunsch nach Taten, Schrei und Weite
    Und daß ich einmal diesem Zwang entgleite
    Und all der Heuchelei so hohler Feste.

    Dann ist es still in mir wie vor Gewittern,
    Die, eh sie schön und dröhnend...

  • Hélas ! Que je me sens confondre
    par tes vers et par tes talents !
    Pourrais-je encore à quarante ans
    les mériter, et leur répondre ?
    Le temps, la triste adversité
    détend les cordes de ma lyre.
    Les jeux, les amours, m’ont quitté ;
    c’est à toi qu’ils viennent sourire,
    c’est toi qu’ils veulent inspirer,
    toi qui sais, dans ta double ivresse,...

  •  
    Et maintenant, c’est l’heure où la terre des gaules
    Gémit, comme une harpe, à l’ombre des vieux saules.
    Des fleuves murmurants, des lacs et des vallons,
    Des bois, des monts ombreux où nichent les aiglons,
    Et de l’anse des mers où la vague retombe
    Un immense soupir sort d’une immense tombe.
    Car ils sont morts, au loin, en mille champs épars,
    ...