J’ai cueilli pour vous seule, à sa branche flétrie,
Ce jasmin par l’hiver oublié dans la tour.
J’ai baisé sa corolle, et mon âme attendrie
Dans la dernière fleur met son dernier amour.
Château de La Roche-Guyon. 185…
J’ai cueilli pour vous seule, à sa branche flétrie, Château de La Roche-Guyon. 185… |
La brume a noyé l’horizon blafard, Ce n’est pas la nuit, ce n’est pas le jour ; |
Kronos, roi du passé, père des jours à naître, Sa barbe, que le feu des étoiles pénètre, |
Le Nil est large et plat comme un miroir d’acier,
Les gypaëtes blancs se bercent dans les airs, |
Ô laboureur de l’âme, ô semeur éternel. |
I Mars est venu, la vigne pleure : Et, peu sensible à tes alarmes, |
Sous le chèvrefeuil, — Eh ! bon ! bon ! bon ! ― qu’on nous verse encor ! « prends bien garde à toi, |
Marcia, la vieille louve, Elle a la belle Grecque, enivrante sirène, |
Dans ma chambre, au bord de la plage, La blanche lueur qui pénètre |
Le printemps s’est hâté, mars en mai se déguise ; La brise a des chansons qui grelottent encore ; |