L’aurore a la pâleur verdâtre d’une morte,
Elle semble une frêle et tremblante Alkestis
Qui, les pas vacillants, vient frapper à la porte
Où l’amour l’...
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Leurs cheveux emmêlés pleurent le sang... |
Partout, de loin en loin, de proche en proche,
Et pour les morts et les saints, L’heure est triste : les champs,... |
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Il faisait triste dans la plaine ; |
J’aime la boue humide et triste où se reflète |
Souvent, lorsqu’au retour des mauvaises saisons |
L’absence ni le temps ! Et cependant c’était ― |
Ô champs paternels hérissés de charmilles |