Quand l’été vient, le pauvre adore !
L’été, c’est la saison de feu,
C’est l’air tiède et la fraîche aurore ;
L’été, c’...
Dieu est toujours là
I
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XXXVII
J’eus toujours de l’amour pour les choses ailées. |
En l’an du Christ quinze cent treize, |
« POUR toujours ! » me dis-tu, le front sur mon épaule. Vingt fois, les vieux marins qui flânent sur le môle... |
L’espoir divin qu’à deux on parvient à former Le désir éternel, chimérique et touchant, |
Toujours je pleure au nom de mon enfant : Je le revois dans la fleur éphémère ; |
Tout est vanité : crois toujours, |
Prends une pierre et brise-la, |
Toujours je la connus pensive et sérieuse : |