Assis au revers d’un chemin,
L’ombre en noyait les avenues —
Tout seuls et la main dans la main
Je baisais ses épaules nues.
Blanche, la lune se levait ;
— L’ombre en redoublait son mystère —
Au moindre souffle tout avait
Des frissons d’amour sur la terre.
Et je respirais ses cheveux ;
— L’ombre en buvait l’odeur suave —
Et lui...