Mon éternel amour, te voici revenue.
Voici contre ma chair, ta chair brûlante et nue.
Et je t’aime, et j’ai tout pardonné, tout compris ;
Tu m’as enfin rendu ce que tu m’avais pris.
Je puis enfin dormir, dans l’ombre de ta couche,
Puisque j’ai reconquis ton regard et ta bouche.
J’oublie en tes doux bras qu’il fut des...