Rien ne vaut sous les cieux l’immortelle Liqueur,
Le Sang sacré, le Sang triomphal, que la Vie,
Pour étancher sa soif toujours inassouvie,
Nous verse à flots brûlants qui jaillissent du cœur.
Jusqu’au ciel idéal dont la hauteur l’accable,
Quand l’Homme de ses Dieux voulut se rapprocher,
L’holocauste sanglant fuma sur le bûcher
Et l’odeur en monta...