À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise,
Il est un banc, solitaire et moussu,
Où l’on croit voir la Rêverie assise,
Triste et songeant à quelque amour déçu.
Le Souvenir dans les arbres murmure,
Se racontant les bonheurs...
À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
À Catulle Mendès. Sur ce couvercle de tombeau Joignant les mains, les yeux heureux |
Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
et que Pâques dit sa bonté |
Fantastiques d’aspect sous leur noire capote, « Tiens ! v’là l’pèr’ Pierr’ ! fait l’une, un malin, celui-là ! |
I C’étaient vraiment des gens heureux. Ils étaient trois : |
Par une rue étroite, au cœur du vieux Paris, |
Je la connais ; je sais qu’une triste chimère |
Et des bouches d’argent et des regards de pierre En des cirques d’éther et d’or, seules et seules, Des monuments... |
A Catulle Mendès. |