À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise,
Il est un banc, solitaire et moussu,
Où l’on croit voir la Rêverie assise,
Triste et songeant à quelque amour déçu.
Le Souvenir dans les arbres murmure,
Se racontant les bonheurs...
À ERNEST HÉBERT
Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
À Catulle Mendès. Sur ce couvercle de tombeau Joignant les mains, les yeux heureux |
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Au fond du parc, dans une ombre indécise, |
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et que Pâques dit sa bonté |
Fantastiques d’aspect sous leur noire capote, « Tiens ! v’là l’pèr’ Pierr’ ! fait l’une, un malin, celui-là ! |