À Luigi Gualdo.
J’étais assis devant la mer sur le galet.
Sous un ciel clair, les flots d’un azur violet,
Après s’être gonflés en accourant du large,
Comme un homme accablé d’un fardeau s’en décharge,
Se brisaient devant moi, rhythmés et successifs.
J’observais ces paquets de mer lourds et massifs
Qui marquaient d’...