C’était alors, quand les chaleurs passées,
Le sale Automne aux cuves va foulant,
Le raisin gras dessous le pied coulant,
Que mes douleurs furent encommencées.
Le paisan bat ses gerbes amassées,
Et aux caveaux ses bouillants muids roulant,
...
C’était alors, quand les chaleurs passées, Le paisan bat ses gerbes amassées, |
Ce n’est pas moi que l’on abuse ainsi : Contente-toi de m’avoir jusqu’ici |
Oh l’ai-je dit ? Hélas l’ai-je songé ? Mon cœur chez toi, ô madame, est logé : |
Quand à chanter ton los, parfois je m’aventure, Je crains en louant mal, que je te fasse injure. |
Ce dit maint un de moi, de quoi se plaint-il tant, Quand j’étais libre et sain j’en disais bien autant.... |
Vous qui aimer encore ne savez, Il osa bien branlant ses bras lavés, |
C'est fait mon cœur, quittons la liberté. La raison fut un temps de mon côté, |
PARDON AMOUR, pardon, ô Seigneur je te voue Hélas comment de moi, ma fortune se joue. |
Ô vous maudits sonnets, vous qui prîtes l’audace Ce tort de confesser vous tenir de ma race, |
N’ayez plus mes amis, n’ayez plus cette envie Ainsi me dit la fée, ainsi en Æagrie |