Loisir, où donc es-tu ? le matin, je t’implore ;
Le jour, ton charme absent me trouble et me dévore ;
Le soir vient, tu n’es pas venu ;
La nuit, j’espère enfin veiller à ta lumière ;
Mais déjà le sommeil a fermé ma paupière,
Avant que mes yeux t’aient...
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Enfin, tout se métamorphose ! Le vieil Hiver est aux... |
Dieu ! que je suis heureux quand je baise à loisir |